rupéaux q q, regardés jusqu’ici comme composant à eux seuls les rochers[1] des crocodiles, il est encore deux autres pièces rochéennes soudées l’une à l’autre, qu’elles recouvrent immédiatement et en dessus l’une des parties de l’encéphale, et qu’elles ont jusqu’ici échappé à toutes les recherches, non-seulement à cause de leur situation insolite et de leur mutuelle association, mais de plus, parce que l’état allongé de l’encéphale les a contraintes à s’unir d’origine à l’occipital supérieur, dont alors elles n’avaient dû paraître qu’une des annexes.
C’est un point de haute philosophie qui a été fort mal accueilli quand j’ai cherché à l’établir, un point de fait, pour lequel quelques réflexions approfondies avant jugement eussent été sans doute nécessaires, et que je dois et vais développer avec quelques détails, de sorte que je puisse vaincre enfin les résistances, dont il est devenu le sujet. Je cherche par là à excuser la prolixité de ce qui précède, comme de ce qui va suivre.
Afin d’aborder avec le plus d’avantages possibles les difficultés de mon sujet, j’ai recherché si quelques diversités de forme quant à l’oreille ne se rencontreraient pas dans la famille d’ailleurs parfaitement naturelle des crocodiles : je l’ai heureusement trouvé. Chaque spécialité de formes devient un indice et vaut un avis. Voilà ce qui a motivé ce grand nombre de figures numérotées de 16 à 23. En décrivant successivement les objets de ces figures, je m’attacherai principalement aux aspects qui y sont représentés, et dont ce qui suit ne sera réellement que le commentaire.
- ↑ Consultez, fig. 2, la pièce encastrée, fortement teintée et marquée, Lett. Q. La lettre est rejetée en dehors et conduit à son lieu par une ligne de points.
