Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 12.djvu/230

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rapport avec le même aspect des autres pièces citées, et je n’aperçois que le bord antérieur qui présente un point de ressemblance ; car là sont effectivement, 1o une pointe entre d et g, le bord angulaire d’une muraille encéphalique ; et 2o les ouvertures dd ; ouvertures de communication.,. versant de la grande caisse tympanique dans les cellules auditives du pariétal. Il y a mieux, c’est qu’entre les trous d, d, et un peu en arrière, là où l’analogie m’enseigne d’aller observer la grosse tuberosité médiane, marquée K, il y a un autre et plus grand trou, avec mêmes caractère et destination, c’est-à-dire également employé à offrir une troisième entrée pour une autre cellule auditive dans l’épaisseur et en dedans des parois du pariétal. La grande caisse tympanique s’y confond, et le pariétal s’étend dessus, pour s’y employer à titre de plafond.

Cependant que sont devenus les éléments qui auraient du intervenir pour composer la grosse tubérosité K, dont l’absence nous frappe ici comme un cas grave de différence ? Nous ne manquerons pas de le dire en son lieu ; ce sera quand nous donnerons l’explication de la fig. 19.

On voit fort peu du sur-occipital Z, lequel ne nous présente qu’une tranche en raccourci, savoir, une partie triangulaire au bas de la pièce et les sommets latéraux de celle-ci ua, bu ; ces parties sont vues par-dessus dans toute leur étendue, laquelle est recouverte, sans adhérence toutefois, par le pariétal. Au-delà et par-devant se voient, en tables restreintes, les mêmes parties qui deviennent des ailes d’interpariétal, k, prolongées sur les flancs.

Du pré-rupéal Q, fig. 17. Cette pièce qui est longue, comme nous aurons sujet de le dire tout à l’heure, est ici