Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 17.djvu/229

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DE LA TURBINE FOURNEYRON. S^I

kp ■+- nA’, soit du dedans vers le dehors, s’il y a refoulement ou quep’ surpasse cette même pression. Enfin, dési^iant par

q = A:.o(v, le volume, et par m-=- kfiw, la masse du liquide

expulsé ou introduit pendant une seconde, au travers deo, dans le cas où la turbine est censée tourner sous l’eau du bief inférieur ; ;Ç. représentant d’ailleurs le coefficient de contraction qui se rapporte à l’ouverture annulaire o, on aura :

1° Pour l’équation du mouvement au travers des orifices O du réservoir, .

2° Pour celle qui se rapporte à l’écoulement par l’ouverture o : du dedans vers le dehors, ou si l’on a p "^ p + nh’,

du dehors au dedans, ou si l’on a, au contraire, / ?’ <.p+nh

ce qui donne simplement, d’après l’équation ci-dessus,

± W’ = 2ffE — {l 4-K) U%

le signe négatif de w’ correspondant à la seconde hypothèse qui est celle de l’aspiration ;

3° Pour l’équation qui se rapporte au mouvement relatif dans l’intérieur des conduites de la roue, lesquelles donnent toujours lieu à une dépense de fluide OV, par seconde,

«"=.’«.- + sg. H-(i +K) U’ gH., ^x| ; sin>.«"

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