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DE LA TURBINE FOURNEYRON. 33

celles qui se rapportent à l’effet utile même de la roue, doivent alors se partager en deux groupes distincts, ou plutôt on doit considérer séparément ce qui a lieu pour la capacité inférieure et pour la capacité supérieure où les circonstances du mouvement seront très-différentes, puisqu’il s’y fera généralement une aspiration, plus ou moins puissante, qui modifiera complètement la loi des effets.

Soient, pour cette même capacité, o, 0’, p’, u, m, et (V, les quantités analogues à celles que nous avons précédemment désignées par o, O’, p ul, m et w, et qui, désormais, seront relatives à la capacité inférieure où l’eau afflue d’une manière directe, on aura d’abord, pour remplacer l’équation en (’/, posée ci-dessus,

v== ^g (^-7|") O".^’ = 2^A- (I + K) U’-i- ^g (^— ^■),

relation qui, à son tour, se rapporte au jeu de la couronne intermédiaire, et à laquelle il faudra joindre les trois suivantes :

v.’ = og (^-^) + ■^gh^ «’. — ""—■■’ + =^(ir-ïï) - =^^ 0ii^ = Oiv + 0,11’,

en ayant soin, en outre, de considérer comme perte, dans l’équation relative à l’effet utile de la roue, la force vivem--m) {u’, ’ + v — au’y cos cp), que possède la masse de liquide m + m, h sa sortie de la division supérieure de cette roue.

D’ailleurs la question, bien que plus compliquée, n’en sera pas moins susceptible d’une solution suffisamment approchée pour le but à remplir, et dont ce qui précède servira à donner T. XVII. 5