moindre que celui de la brique de première cuite, ont donné un béton dont la résistance est seulement de une plus forte calcination diminue de plus en plus la propriété qu’ont les argiles de former des bétons avec la chaux ordinaire ; et lorsqu’elles sont ramenées à l’état de vitrification, tout comme lorsqu’elles sont dans leur état ordinaire, elles sont entièrement privées de cette propriété.
La silice précipitée de sa dissolution dans la potasse a forme avec la chaux un béton dont la résistance était double de celle du béton fait avec le ciment d’eau-forte ; mais à l’air il est devenu léger et friable. Du cristal de roche réduit mécaniquement en poudre impalpable, et qu’on peut considérer comme de la silice pure, ne contracte aucune union avec la chaux. L’alumine a présenté des résultats analogues ; quant à l’oxide de fer, il n’a contracté aucune union avec la chaux. Tous ces résultats prouvent que c’est l’affinité qui préside à la solidité qu’acquièrent tous les mortiers, et qu’on doit par conséquent chercher à la fortifier.
Ce Mémoire est un supplément à celui dont il est fait mention dans la Notice de l’an 1818 ; l’Académie, qui y a trouvé le même mérite, l’a de même accueilli favorablement.
Ce bateau est resté long-temps en station sur la rive gauche de la Seine, au quai Voltaire Nombre de témoins peuvent attester l’élégance de ses formes extérieures. Ceux qui ont eu la curiosité de le visiter n’ont pas dû être moins satisfaits du soin que l’on a mis dans l’exécution de toutes ses parties
