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I IO ETAT DE LA VÉGÉTATION

i8o5.

Bar. À 12°. 5 Th. cent.

3oaoût. Ioh. m. 54e. 9-95 -f-14°.o Sud-ouest soufflant par bourrasques. Soleil pâle et pour 10.3o Q-Q4 14 •* tant ardent. La. chaleur est extraordinaire dans la

jj I q 88 15.5 plaine. A Barèges, le thermomètre marquait 28°, 2

“ “ a c 1 4 vers midi et s’est élevé probablement davantage. Au

0 Q.o4 10.4 -“. vu monter momentanément 19

0 o Q.O4 3 It> fi. A « Pic, je lai ̃ tu monter momentanément jusqu’à 19,

0 3o 9 1er mais c’était l’effet du soulèvement de quelques por 1 9-°" 1" -2 tions de l’air échauffé dans les vallées adjacentes.

La chaleur de ce jour est la plus forte que j’aie

éprouvée au Pic. Quant à Barèges les plus hautes

températures qui j’y ai observées sont les suivar’es

3o juillet 1803 -j- 2 8", 1 – 17 août 1809 + 29°, o

— 7 août 1802 -j-3o°, 5.

1 sept. IO m. 54.7.57 +7.0 Sud-ouest, entraînant les nuages qui passent à une

10 3o’ 7.5p 7.5 grande hauteur au-dessus du Pic. Nord-est dans la

jj- I 7-44 7.7 plaine et jusqu’à sa cime. – Beau soleil.

0 7.28 8.0 o

1 s. 7.00 7.6 g ̃ 2 6.82 7.4 4

1809.

l5 août. 116. 3o’ 54C.5.2I 4- 7°.4 Sud-ouest soufflant à la cime du Pic, et retenant à diso o 5.21 8.2 2Ij tance les brouillards amenés de la plaine par un

o.30 5 1 5 8.3 3. vent bas, soufflant du nord.

1 s. 5.og 8.6

2 5.13 8.6 :̃

2.3o 5.1.6 8.5.5 ̃

22 sept- Il m. 54.7.32 -+̃ 5.5 Nord-ouest fort au sommet du Pic. Calme dans les

0 7.18 • 6.0 ’̃̃ fonds.

j s 7 43 3 6.5 Ciel parfaitement purronne peut juger de la direction

du vent qui règne dans les couches supérieures

7 oct. 0 54 -O.37 + 2.5 Ouest très-fort et nuages. Le Pic est tout couvert

1 s. 0.37 3.5 de neiges récentes.

jq oct 5^ 3, ^7 -f- 2 5 Nord-est assez fort. Brouillards passagers. Il y a eno s. 3 5o [ 1.4 4 core beaucoup de neige sur le Pic.

l8lO. x

II sept. oh. 54°.2.4l + 7°-° Sud-ouest fort sur le Pic. – Ouest sur la plaine. Elle

o. 228 7-7 7 est couverte de nuages au-dessus desquels on voit

I s, 2 og 7 9 surgir la cime du Pic de Montaigu, dont l’élévation “ ’g 8 S, p n’est que de 2Î5om. Les montagnes méridionales, ñ I.^o au contraire, sont entièrement visibles, mais coiffées

de nuages élevés qui oscillent avec ceux de la plaine,

et finissent par franchir la barrière. A’ 4 heures les

deux masses sont réunies.