Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/505

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EL ECTRO- DYNAMIQUES. 3’m

fermée, et on aurait u2 – Ul, r, =r1 ; en sorte que faction exercée sur cette zone parallèlement à l’axe des x serait nulle, et par conséquent aussi celle que l’élément d2ffV exercerait sur toute la surface a composée alors de semblables zones. Et comme la même chose (aurait lieu relativement aux forces parallèles aux axes des y et dès z, . on voit que l’assemblage de deux surfaces très-rapprochées l’une de l’autre, renfermant de tous côtés un espace de forme quelconque, et couvertes, de la manière que nous venons de le dire- l’une de fluide austral, l’autre de fluide boréal, est sans action sur une molécule magnétique, en quelque endroit qu’elle soit placée, et par conséquent sur un corps aimanté de quelque manière que ce soit. Reprenons l’expression précédente ~d2~r Cuz’dep ù.LZd

r a. rI T s

et il nous sera aisé de voir que, pour avoir la somme totale des : forces parallèles à l’axe des.# que l’élément d ? exerce sur la surface entière il faut intégrer par rapporta $ les deux parties dontse compose cette expression, respectivement dans les deux portions Aa6B, BaôA du contours, déterminées par les deux plans tangents p’m’A, p’m’B, menés par la ligne m’p’. Mais il revient au même d’intégrer ^gi d= </ ^î dans toute l’étendue du circuit s ; car si l’on met pour u et ? leurs valeurs en fonctions de r déduites des équations de la courbe s^ on voit qu’en passant de la partie KabB à la partie BedA df change de signe, et que par conséquent les éléments de l’une de ces parties sont d’un signe contraire à ceux de l’autre. D’après cela, si nous désignons par X la somme des forces