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382 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

sur ce pôle par chaque élément du conducteur angulaire CM Z on convient généralement qu’en abaissant du point B sur une de ses branches C[l-M prolongée vers 0 la perpendiculaire B0==~, en faisant 0[jt.=~, BM==~, B~=/ l’angle B~M~8, l’angle-C MH=B M O=E, et en désignant par p un coefficient constant, la force exercée sur le pôle B par l’élément ds. situé en p. est égale à p sin. 9 d s

rs

qu’il s’agit d’intégrerd€puis~==OM=<ïeos. s jusqu’à ~=eo ou, ce qui revient au même, depuis ~=s jusqu’à 8-0 mais, dans le triangle B 0 ~t, dont le côté O B = b =a sin. E, on a

a sin. 6 d asin.ede ds de ~=~n78-~="in-="m~— ; ir -n.-O sm, & r a sm. ! ainsi

p sin.8 ds psm.9d8 8

r2 a sin.-s

dont l’intégrale est

—~–(COS.6+C),

asm.e

ou en la prenant entre les limites déterminées ci-dessus, p (1 ~COS, E) Pt 1 s

csin.s s a a ang. À G

valeur qu’il suffit de doubler pour avoir la force exercée sur le pôle B par le conducteur angulaire indéfini CMZ ; cette force, en raison inverse de BM=a, est donc, pour une même valeur de a, proportionnelle à la tangente de la moitié de l’angle CM H, et non à cet angle lui-même, quoiqu’on prétende que la valeur p sin. e d s

r~

de. la force exercée par l’élément ds sur le pôle B, ait été trouvée en araalysrem par le calcul la supposition que la force produite