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1 DU MAGNÉTISME EN MOUVEMENT. 545

1823. 1. 6g

la plaque est en repos, et que l’aiguille oscille en conséquence de part et d’autre du méridien magnétique, on aura 8 : o, et

~sin.~

=ae 27ï’e

Dans le cas de i i, on pourra développer l’exponentielle en série, et s’arrêter au second terme à cause de la petitesse de l’exposant il en résultera

aa’ sin. $’

a s 2rt-e

pout là petite différence dé la première à la seconde demioscillation. On ’peut déterminer cette diminution, sans supposer très-petit, comme nous l’avons fait, l’angle ~, x dont l’aiguille a été écartée du méridien, et en admettant seulement qu’elle soit une très-petite partie de cet angle. (42) Pour cela faisons n ~.o dans l’équation multiplions les deux membres par :2 d puis intégrons de manière qu’on ait dt ==o quand t o nous aurons — ~1 rcos –~ 2 7Ç /^d~ ~7

~os~ cos.~–

a : n ! GL t 7

1 intégrale commençant avec t. Puisqu’on suppose l’effet produit par l’action de la plaque, très-peu considérable pendant la première oscillation, on peut, dans une première approximation, négliger le terme qui renferme.cette intégralé on en conclura alors

dt— g d~,

~~2(co~–eos.et) ·

Dans une seconde approximation, on substituera cette va-