Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/782

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..2 6^6 -̃ "r– 8 j (lO)

1^ à COS. a, . cos. 2 rCpS, 3 «̃ à S. ’̃'̃

2 b b ± r.+ b s-+-. 4 +.. b’ + 9. + étc : j.

En différentiant cette équation par rapport à a, on en déduit cette autre ixr :: i ; r- >" ? r -bia–zn-K–’K) b{a.–-2.ri’K – tv) "1

•’̃ ; "̃̃:̃> rcke • i-n-t- ?rTt&h :>i oi ;̃̃̃, ; v<Jg^.l : i.ñ̃• ̃̃•̃̃’̃ [ù.^é ’~é >̃ ̃ {iï) ̃’̃' li : i- sift.tz -W1 2-sin.2’«' J.r- 13^in. 3a

i •  4 otf etc.

Au moyen du nombre « qi^èilé ren, fe.rme l’équation (i 3) subsiste pour toutes les valeurs réelles et positives de à, jparce.qu’en, effet, les. 4quatiops ’-|i j).et (12) dont nous-sommes partis ont lieu sans exception. Mais il n’en est pas de «ïême4i* l^gaiwl de] féùrs différenfiélfes pàr’ràprrort à a, et ilSotfricèïté^isè^^ï*eqîiMiOT:{i^:ést ?e^ defauf quand ’àféùt zéro ou un multiple de â^ti r ̃ } ̃• V"

Pour la rendre, applicable à ces valeurs particulières, j’observe qu’en difîeïentian^l’équaftoni(^ ~-ét ~aisâtit-ns-te`~. 0 = 0, on aurait J

~–x-iD~a~-j-. 1 t ñ" J -pT&dx==î*r

tandis que cette intégrale.egt évidemment j nulle ; dans le cas de a = o ïF faut dônfc f¥etran^ferfduipreïniei5, membre deñ ̃ -̃ -̃ ̃̃̃•̃, ..Ca :O i