Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/100

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LE BANQUET ncrmon. Je rn avee i qe Dionyso8 t la ion e qi pd et e eonse

et devient le  du sa. Ms t me 

sle, cite d les vnes des pls et ien d le , a d le sole et come son axion est srie et cache, on - t e me sup6riede Dionys da le de 1’6s nocturne, 6cl les mo, et c’est oi on l’aple le chorge des s, le rger d blches iWfies. Come la et la e q’il pd d la na dissent en iver

n au pps, H est le sidle de h - 

on des imes, es asi sont des lumires qi ne s’6ient .ici qe po n e. L’isse du disir les a fi dn de la voie lac, i - ve 1 pt sres. Qd les vent i cble de la - le, eries Wnt ds la ndssance et le devest,

le nde sle t us  la loi de cmi 

s de dmissce, come la le lmme, - t la c16 de la vie et pside, qoiqe viee. a enfmen et l’Iducacion. Tt qe l’me s enche s les He du dir, le ne peut s’61ever ausus de la te, ms si le domp le dsir, le peut Venchaer son W et lui emptor s ailes po remonr ve le monde sup6rie. La

volup l’en a tt den, la doe l’i rne. 

Dionys lui nd la u de l’iciacion oi erie it l’isse mistiqe de l’exe, et le rentre pu-

fi au s/jour de la lumina, ds la sre immobile 

’. des Di. ’ ' Tat. La docte qe’tu viens d’expor, ’.Po, t pre en ’de pe la relion ’sine. Mes ancbtves ont ape16 Osiv le sleil des r6gions f6rieures, le juge et le roi des mo. Les