Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/111

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COMMENTAIRE D’UN R!PUBLICAIN 9 ses. En remplaant un Dieu par e Desse, vous cyez avoir ft du nouveau et les cfiens le cmien asi, psq’fis cent au scudale: come si les idtes avaient sexe ! Maleeement, les mo empacbent de voit les idi., s. Le cristiisme et la dtmoccie, qi faiient n mne i nce au tooyen ge, se considnt aujourdui en France ’come irrconcHiles. Es e seement e lu d’inr ? Mais on doit suposer q’il y a de ge dssss de p et d’au. Este e oposition de prcipes ? Cela ferait cmi qe la cice n’est pas la mme chez Wus les omes, et alo n’i ait plus de moe. Je u- tiens qe c’est seulement e qestion de mots, et je ve le moner en aduist la pri des ens ds la lane d racionalistes. -- I1 est inutRe de l’esyer dit l’ab; les raciona- liss n’admnt pas mme le principe de la pribre. Tdis qe les religio susent, au-dessus du monde, des rolontis libs, dont l’ome peut cheher h mifier les dcions, la ience ne voit ds l’or- d des chos q’e comoson de lois ncessais, et p consiqent immules. Si l’ome se borne demider la siacion a maus de la vie et la fore de fai le bien, la moe lui r6pond q’il a sa coience po se diriger etsa volont po agir. Qinqe ne cit p aus Dieus pernels des reli- gio ne peut voir ds la pri q’ monoloe. -- C’est asi k ce pot de rue qe je veus me placer. Pnons la pri come une mdicion, ou, ce qi rcvient au mme, come le didoe de l’ome avec la 16i rieu, q’il apple son Dieu. -- Pouqoi, dit 1’, employer c expossion ogiqe qe l’esprit modeme refe d’acepr?