Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/240

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La Grace Onore en eus ia fo’ce et ta beautY, Et chante, par la vois de l’iambe traKiqe, La lute du destin et de la oolontd. Aus fttes d’leusis et des Panathdndes, Aoec les horns des Dieas du dioin Parthdnon, Le peup!e chante, au son des flttes alternes, Les noms d’Harmodios et d’Aristog.iton. Aus ftes d’lleusis et des Panathdnes, Les titans savent bien qe des g.laives oengeurs $e cachent sous les fleurs. PODE I I Goarone-toi de mirte aus ftes de la Ordce, tldpte ies accents Des vierg.es au long’ voile et des adolescents. L’ffternle bea utd ,ient des Dieus ; pour prtrsse Elle a la posie aus accords inspit’ds. Courone-toi de mirte aus fttes de la Grace, Fils d’Hdlne, en chantant stir les modes sacrds. EUFOI{.ION J’ai souvent invoqd, sur les saintes colines, Le chwur mdlodieus des Muses, qe conduit Loxias Apollon, roi des strofes divines; Et j’ai chmtd l’amour, ia jcunesse qi jhit, El les combats sangiants, et Perg.ame ddtruit. J’ai som,ent adoft’, dans le marbre captives Los imag’cs dtz ciel qe l’ar! ddrobe aus Dieus ; J’ai demands; I’oubli des enres fug.iti,cs Ace monde iddal qi rdvle nos ieus Come un reflet loinrain de la splendeur des cieus.