Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/325

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Je suis inicid, je conais le mistre De la vie: une atone off l’immortalitd Est lc pris de la lute, etje m’i suisjetd Libremcnt, voulant nattre et oivre sur la trc. Les hdros demi-Dieus ont sonleft et lutd Pour conqdrir au ciel leur place drdditaire : Qe la lute oirile et la doulcur ausle Trcmpent come l’airain ma libre oolontd. $uivons sans peur le cours de nos mdtempsieoses, Et de l’ascension montons le dur chenin, Sous los ieus de nos morts qi nons tendent la main. Ils reeeoront, du haut de leurs apotdoses, Dans l’Olympe dtoild eonqis par leur oertu, L’hme qi combatra come ils ont combatu.