Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/35

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Ils erdaient dans leur ltme un monde intrieur. 2I Moi, de es pierins suioant la course errante, f alai seule, pieds nus, un bitton it la main; Baisant d’un sang dipin la trace eneor rdeente, Bt pot;r 8’uide suioant la crois dtincelante Qi, de la tre at; ciel, me montrait le chemin. Com autrefois fidsus sur les saintes colines Vit deus fois sous sa rois son corps divin fldchir, Qe de fois je sentis art milizu des dpines Mes 8’enous ddfaillir ! Etje disais’: Seigneur, est-ee assez de sot;france ? I, es [ours de ton amour ne oont.ils pas oenir, O bien faut-il’ii, lasse de l’espdrance, M’ arOter pour mourir ? O palmiers du ddsert I champs de la Thdbade, Qi r4pdtie alors le ori de roes douleurs, Brhlant soleil d’EKy-pte, st toi, poussidr aride Q’aros$rent mss pleurs l r. orse seule, l g’enous, d’un ilive oStue, J’z dgchb’ais mon sein it des ongles defer, l;ose It tentateur prsentait fi ma oue Lzs dmons de l’enfer ; Vous saoe sljamais, du fond de ma mis$tw, ff’ai dit l Dieu: ’ amour qe tt; m’ aoais promis, ’il falzt pour l’acheter tant soufrir sur la tre, st trop char it ce pris.