Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/47

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P!toMrH]E D]LIYR 1 Mais, dans la bris .qisoupire, Un murmure divin a paru s’ envoler. Rdponds, vieillard aveugle, est-ce un chant de ta irs ? 3ron, c’est sa oois : silence! il va parlet, HOMIRE, Qi m’a fait de Hades qiter les rives sombres, Ot, depuis si longtemps,je reposais en pais, Oh, parmi les heros du ro.),aume des ombres, Come autrefois, la life & la main, je ehantais ? Pourqoi les immortels m’ ont-ils done fait renattre? Vaig-je errer sur la tre et mendiet encor ? Mais,po urpa.),er mon pain, l’ ome a ujo urdui, peut;tre, Au lieu de chants divins, demandera de l’or.’ Car tes jours sont.finis, Hellas aus plaines blondes, Oit germaient autrefois des petiples de heros, Et tune mires plus aus flots des mers profondes Tes temples, tes citds et tes mile vaisseaus. Et toi seule, pourtant, toi seule, d ma patriel Adoras l’art saerd, la sainte poffsie, Et !a beaut divine, enfant des immortels. Les Dieus et les heros qi naissaient sous ma life, Tu les chantas toi-mme, et,. dans un saint ddlire, En les voj’ant si beaus, leur dressas des autels, 0 Zeus,ills de Kronos, assembleur de nuages, Dont le sourcil froncd.[aisait trembler les cieus ! Hr, Ddesse aus’uste aus bras blancs, aus grands ieus ; . 3