Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/49

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Avengle demi-Dieu, saint et sublime HomOre Pour O!e l’ avenir a des temples eneor. Hombre, soit son prdtre, et transinet& d’itge en A ses adorateurs, l’immortel dritage Du laurier toujours vert et de la life d’or. L CH(EUR. Et toi, qi do.n es-tn, grande et sainte.figure Qi marches Iv front triste et le regard baissd? Oel est ton nora, imags austOre, la plus pure Des ombres ge nous rend l’immuable passg ? J]SUSRIST. fie suis l’Agnean divin,.fils de !a ierge mre, Q’adora deus mile ans l’unioers it genous ; fie suis ie bon Pasteur, ie $aut,eur de la ttre. 0 vous pour gui mon sang conla sur le Galvaire, Me reconaissez-vous ? Maintenant la science a brisd ma courone, Aus gatre vents du eiel mon nora est biasf draft; .[es saints mOme ont doutd, !e monde m’abandone ; Pour la seconde foisje rneurs et te pardone, Mon peuple bien-aimd. Qe t’avai.s-je done fait? $ur cOte froide ttre, En tons liens du plus fort rdgnait !a dare loi. ff’ai dit au faible : Eureus celui qi pleurel EspOre, Prieet souf re en silence, et !ti-haut de mon Pbre Le ro.y’aurne est it toi. L’ome voulait sonder la divine puissance. A us sages orguei!leus j’ai dit : Prosternez-vous ; Le doute est.le seul /fait de l’arbre de science;