Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/51

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PROR’rHE DLIV Emportd par le temps vers un nouveau rivage, Le monde fi tee genous tombe avant de purtir. IMnis-le, Saint des saints, pour q’il salve sa route. II est pussd le temps du blusfme et du doute : Grist, bgnis l’ aoenir l LeE Dieus peuvent mo u fir, car lee Dieus son t d’ur gile ; Mais toi, tu n Ytais pus de e limon fragile Dont le prctre pdtrit l’idole du saint lieu. LeE Dieus veulent du sang: tu voulais des prigres. Tu nous aimas, Jsus, tu mourus pour tes frrs, Tu nYtais pus un Dieu. PIIZM IER DEMI’CH(IUR CriEr, vus-tu nous qiter ? Grist, Oois notre misers ! Qi nous consolera de l’ exil de la tre, , $i tu fermes ton eiel ? DEUXI!t DEMI-*H(EUR. Adieu, Cist! aoee toi qe le nant reprne et abtme oi devait tombet la race umaine, Ton enfer dternel. PREMIER DEMI’CH(IUR. Ius du iel, enfants, vieryes immaeulges, No eonduirez-oous plus, falanges dtoildes, LeE chaurs du paradis ? DEUXIMg DEMI-!I(UR. ,S ehante de s dias, dont seal tu sais !e nombre, 8affront. ils, 6 Grist l pour dtoufer dans l’ombre La plainte des maudits ?