Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/84

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i d’assez bone besogne, je n’en suis pas mbzontent. Les antres, ausqels j’ai don6 beaucoup plus d’auto- rit, et qe je paye trs-cher, ne s’ocupent qede leurs intrts, au lleu de songet aus miens. Si patrols ils robtent la main mes afaires, le rsultat est tel qe j’aurais encore conomie h leur ofrir une some double pour ne s’en Pas mler. La Fde. J’entends; et qle est l’opinion de res Ami les journalistes etles riosol’es ? J*aues. Ils disent qe route lne mrite salaire, et qe je dois payer roes conseillers. Zz Fde. Afin q’ils lassant d’aussi bone besogne qe les antres, qe tu payes 8i char, n’est-ce Pas ? A qoi te servant doric les leons de l’exlrience ? I1 ne te serait pas renu l’ide de faire cxactement le contraire, je veus dire, d’amliorer res mauvais serviteurs en .suprimant leurs gagcs, puisqe tu reconais toi-mme qe ceus qe tune payes pas sont ceus qi travaillent le mieus ? Faut-il qe tu ales la tkte durc! Et combien tc cobtara le traitcment de te8 conseiilers ? Jtwq/zes. Cinq cent trente4xois rollions qatre cent mile francs, au bas pris; un journal qe je n’alme gubxe a fait le compte, et il n’y &rien oposcr son calcuL Cepenclant unlllosofe de roes amis (0 assure qe carte some, tant paye en dtail au lieu de l’tre en bloc, se rduira presq. e zro. I1 ajoute qe si I’on ne paye passes domestiqes, ils font danset I’ne du paxtier. a Fde. Ils ne feront toujours Pas pis qe ceus qe tu payes. J*acrues. Mais mort 111osofe re’assure qe roes con.- (x) oir la Grillqua phiosophique, 3* annie, n.