Page:Ménard - Poëmes, 1863.djvu/243

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ÉPILOGUE.

Un chant de mort. Voici ce que je vis en rêve :
La nuit couvrait Paris ; sur la place de Grève
Ondulait tout un peuple, ainsi qu’aux vents d’hiver
Roulent amoncelés les grands flots de la mer.
Hais nul bruit ne sortait de cette foule immense,
Qui s’agitait avec un effrayant silence :