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MONSIEUR AUGUSTE

pressif qui me l’a dit, et ma perspicacité de femme qui a parfaitement compris cette muette déclaration… Merci ! monsieur Octave ; votre atelier vaut la peine d’être revu. Je lui dis au revoir, et à vous aussi… à bientôt… chez notre voisin, ou chez moi…

— Octave, dit le colonel, en souvenir de ce jour, jour de mort et de résurrection, je vais vous envoyer un petit cadeau qui entretiendra l’amitié… l’accepterez-vous ?

— Avec grand plaisir, colonel ; à condition d’échange.

Un instant après Octave était seul dans son atelier et Auguste en ouvrait la porte.