Page:Maeterlinck - Serres chaudes, 1912.djvu/122

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D’autres jours ouvriront les portes,
La forêt garde les verrous,
La forêt brûle autour de nous,
C’est la clarté des feuilles mortes,
Qui brûlent sur le seuil des portes…

— Les autres jours sont déjà las,
Les autres jours ont peur aussi,
Les autres jours ne viendront pas,
Les autres jours mourront aussi,
Nous aussi nous mourrons ici…