Page:Maeterlinck - Serres chaudes, 1912.djvu/127

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

XV

Cantique de la Vierge dans « Sœur Béatrice »

À toute âme qui pleure,
À tout péché qui passe,
J’ouvre au sein des étoiles
Mes mains pleines de grâces.

Il n’est péché qui vive
Quand l’amour a parlé ;
Il n’est âme qui meure
Quand l’amour a pleuré…