Page:Maeterlinck - Serres chaudes, 1912.djvu/13

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Serre chaude

Ô serre au milieu des forêts !
Et vos portes à jamais closes !
Et tout ce qu’il y a sous votre coupole !
Et sous mon âme en vos analogies !

Les pensées d’une princesse qui a faim,
L’ennui d’un matelot dans le désert,
Une musique de cuivre aux fenêtres des incurables.