Page:Mailloux – Une fille d’Alfred de Musset et de George Sand, 1903.djvu/63

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désir de la faire revenir à Saint-Macaire. Mais madame Coras, ni son amie, ne l’entendaient ainsi. Et, au lieu de se rendre à la maison paternelle, Joséphine partit avec madame Coras pour une destination inconnue.

C’était couper court aux instances du père Ménard.

Naturellement, toute correspondance avec la famille aussitôt cessa.

Ces dames habitèrent alors un petit appartement situé au no 5 de la rue Jean-Jacques-Rousseau, à Paris.

Le Siège vint, puis ce fut la Commune.

D’une nature très remuante, intrigante au plus haut point, madame Coras eut de nombreuses relations parmi les hommes politiques de l’époque.