Page:Maizeroy - La Fête, 1893.djvu/98

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de la tromper, un gros pendard et autrement, quand pourra-t-on la voir, elle ?

— Et, avec une grimace paterne, il ajouta :

— Soyez tranquilles, nous tiendrons notre langue, ce serait trop triste qu’elle sût quelque chose !