Page:Malherbe - Œuvres, éd. Lalanne, t1, 1862.djvu/622

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VI. Au roi Henri le Grand, sur la prise de Marseille. Ode 23

Enfin après tant d’années.

VII. Sur le même sujet. Ode 26

Soit que de tes lauriers la grandeur poursuivant.

VIII. Victoire de la constance. Stances 28

Enfin cette beauté m’a la place rendue.

IX. Consolation à Caritée sur la mort de son mari 32

Ainsi quand Mausole fut mort.

X. Dessein de quitter une dame qui ne le contentoit que de promesse. Stances 36

Beauté, mon beau souci, de qui l’âme incertaine.

XI. Consolation à Monsieur du Périer, sur la mort de sa fille. Stances 38

Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle.

XII. À la Reine, mère du Roi, sur sa bienvenue en France. Ode présentée à Sa Majesté, à Aix, l’année 1600 44

Peuples, qu’on mette sur la tête.

XIII. Prosopopée d’Ostende. Stances 56

Trois ans déjà passés, théâtre de la guerre.

XIV. Aux ombres de Damon 58

L’Orne comme autrefois nous reverroit encore.

XV. Paraphrase du psaume VIII 62

Ô Sagesse éternelle, à qui cet univers.

XVI. Pour les pairs de France, assaillants au combat de barrière. Stances 65

Et quoi donc ? la France féconde.

XVII. À Madame la Princesse douairière, Charlotte de la Trimouille. Sonnet 68

Quoi donc, grande Princesse en la terre adorée.