Page:Malherbe - Œuvres poétiques de Malherbe, éd. Blanchemain, 1897.djvu/37

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Un siege autrefois repoussé,
Cessera de nous mettre en conte
Barberousse, qu’elle a chassé ;
Guise en ses murailles forcées
Remettra les bornes passées
Qu’avoit nostre empire marin ;
Et Soissons, fatal aux superbes,
Fera chercher parmi les herbes
En quelle place fut Turin.