Page:Mallarmé - La Musique et les lettres.djvu/54

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quer, me frappe comme une obligation de qui déchaîna l’Infini ; dont le rythme, parmi les touches du clavier verbal, se rend, comme sous l’interrogation d’un doigté, à l’emploi des mots, aptes, quotidiens.

Avec véracité, qu’est-ce, les Lettres, que cette mentale poursuite, menée, en tant que le discours, afin de définir ou de faire, à l’égard de soi-même, preuve que le spectacle répond à une imaginative compréhension, il est vrai, dans l’espoir de s’y mirer.

Je sais que la Musique ou ce qu’on est convenu de nommer ainsi, dans l’acceptation ordinaire, la limitant aux exécutions