Page:Mallarmé - La Musique et les lettres.djvu/57

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Les grands, de magiques écrivains, apportent une persuasion de cette conformité.


Alors, on possède, avec justesse, les moyens réciproques du Mystère — oublions la vieille distinction, entre la Musique et les Lettres, n’étant que le partage, voulu, pour sa rencontre ultérieure, du cas premier : l’une évocatoire de prestiges situés à ce point de l’ouïe et presque de la vision abstrait, devenu l’entendement ; qui, spacieux, accorde au feuillet d’imprimerie une portée égale.

Je pose, à mes risques esthétiquement, cette conclusion (si par quelque grâce, ab-