Page:Mallarmé - Les Poèmes d’Edgar Poe, maquette, 1888.djvu/287

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Les cloches ! ah ! les cloches ! les lourdes cloches de fer ! Entendez le heurt des cloches ! Entendez le glas ! Quelle horrible monodie flotte hors de leur gosier — de leur gosier à la voix profonde ! Comme je tressaille aux notes qui partent du gosier mélancolique des cloches, cloches, cloches ! des cloches !

Stances

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