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IV 
Le monde de la Restauration. — Les salons. — Une élite intellectuelle. — Les relations de Sophie Gay : la duchesse de Duras, Mme Récamier, le baron Gérard, Charles Nodier, Mme Ancelot, la marquise de Custine, Casimir Delavigne, Benjamin Constant. — La poularde de La Fayette. — La garçonnière de Coulmann. — Visite à l’atelier de Girodet. — Un bouquet de célébrités : les habitués du salon de Sophie Gay. — Le jeune Adolphe Thiers réussit presque à manœuvrer une femme d’esprit. — Mots cinglants d’une animatrice. — Le Marquis de Pomenars au Théâtre-Français. — Sophie Gay découvre Marceline Desbordes-Valmore. — Le gros succès du Maitre de Chapelle et la pudibonderie de Victor-Hugo. 
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V 
Comment l’inspiration poétique vint à une Muse. — Delphine a en littérature des idées arrêtées, et discute avec âpreté. — Une élégie ; un chant ossianique. — Une révélation chez Mme Récamier. — La séance du 24 août 1822 à l’Académie française. — Un concert d’éloges, et la tendre lettre d’un père. — La police de la Restauration a fort à faire, et se trompe quelquefois — Le voyage en Suisse. — Visite à Coppet. — Un coup de foudre : la mort subite de Sigismond Gay (1822) 
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VI 
Sophie Gay pratique le métier d’auteur. — Elle manifeste son libéralisme. — Magalon. — Elle se remue pour ses amis de lettres. — Elle aide à fonder la Muse française. — Delphine publie son premier volume de vers ; réponses des amis et coupures de presse ; le Globe grincheux, la Muse française enthousiaste. — Les portraits d’Hersent et le Salon de 1825. — La noblesse de Delphine. — Les malheurs de Marie ou la pauvre fille. — Paroles royales. — Sophie Gay engage sa fille à cultiver l’actualité : Ourika, la Druidesse, Delphine au Panthéon, le sacre de Charles X, la quête pour les Grecs, la mort du général Foy. —