Page:Marais - La Maison Pascal.djvu/32

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

les ombres fragiles, les verdures légères d’un champ d’oliviers — la Maison rose, au fond d’une allée de palmiers, s’élevait, gracieuse et énigmatique…

Camille la contempla, amenuisée par la distance. Il cingla, d’un coup de canne rageur, les spatules grasses d’un massif de cactus, et s’écria, dépité :

— Mais, sapristi, qu’est-ce donc que cette Maison Pascal ?