Page:Marguerites françaises.djvu/151

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ces, aussi n’ay-je point merité vos courroux, par mes desobeissances.

Si vous estes mesprifée, croyez que c’est pour vos mespris, car le Ciel paye tout de semblable monnoye.

Desseins.

Si mon ame pouvoit juger le dessein de vos conceptions, les effets de mon obeissance auroyent prevenu l’honneur de vos commandemens.

Jamais je n’ay eu dans l’ame autre dessein de vous servir, que selon les loix de l’hon-