Page:Marie de Compiègne - L’évangile aux femmes.djvu/78

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

correspond au dixième de A. Nous en tirerons plus tard des conclusions.

Quant à la langue du ms. D, elle est en général celle du ms. A, sauf les formes picardes qu’il exclut soigneusement. Il y a beaucoup moins d’erreurs et d’incorrections que dans C ; mais la règle de l's y est moins exactement observée que dans A et B, ce qui indique qu’il ne peut être du commencement du XIVe siècle.

Ayant donné en note les variantes que fournit le ms. D, et ce manuscrit n’ayant aucun couplet spécial, nous avons jugé inutile de donner le texte et la traduction à part. La table de concordance indiquerait suffisamment la place où il faut aller chercher ces variantes ; cependant, pour plus de facilité, nous allons donner la liste des couplets de D, en renvoyant aux couplets de A, de B ou de C, auxquels ils se rapportent.

L’ÉVANGILE DES FEMMES
(d’après le manuscrit D.)

I. Voir le texte du ms. C, c. I.

II.— — c. II.

III. Voir le texte du ms. A, c. I.

IV. — — c. III.

V. — — c. VI.

VI. — — c. VII.

Vil. — — c. XII.

VIII. — — c. XVII.

lX. — — c. XXIX.

X. — — c. XXXI.

XI. — — c. XXXII. XII. — — c. X.

XIII. Voir le texte du ms. C, c. XVII.

XIV. — — c.XX