Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 7.djvu/299

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messieurs qui sont vos amis, je ne veux qu’eux pour juges entre vous et la marquise votre belle-mère : voyez si vous avez encore le courage de dire que vous ne vous mêlez point de ses affaires. Mon frère est absent, voici une lettre qu’elle lui écrit, que je lui portais de sa part, et je vous la laisse. Adieu, madame,

Une cloche, qui appelait alors mon amie la religieuse à ses exercices, l’empêcha d’achever cette histoire, qui m’avait heureusement distraite de mes tristes pensées, qui avait duré plus longtemps qu’elle n’avait cru elle-même, et dont je vous enverrai incessamment la fin, avec la continuation de mes propres aventures.