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TABLE.

Poivre. Le meilleur poivre de toute la côte de Malanar se récolte à Mahé, VI, 218. — Il s’en fait un très-grand commerce à Cochin, 219. — Evaluation en poids de la quantité que la côte de Malabar en exporte chaque année ; prix auquel elle le livre, 260.

Pondichéry ; achat de cette ville et de son territoire, V, 342. — Elle est prise, 344 ; — reprise par les Français, ibid. — De nouveau ruinée, 347. — Restituée en 1763, 348. Voy. Anglais. Martin, Duplex, Lally, etc. — Entrepôt du commerce français de la côte de Coro— mandel, delà presqu’île de Malacca, de la Cochinchine et même des côtes de l’Arabie et de la Perse, VI, 213.

Portugais ; leur première apparition dans les Indes sous la conduite de Vasco de Gama, IV, 33t. — Premier traité de commerce conclu avec Samorin, souverain de la côte de Malabar, 332. — Leur premier établissement à Calicut, 333. — Ils obtiennent la permission de bâtir ime forteresse à Cochin, 336 ; — établissent en divers lieux des factoreries et des forteresses, et s’approprient le monopole du commerce le long des côtes de Malabar, 339 ; — triomphent des flottes musulmanes, armées par les Vénitiens, 341. — S’emparent de Goa, 345, — de Malacca et des Moluques, 346 ; — forment un établissement à Maskate, 34t. — Leurs établissemens le long des côtes des Indes jusqu’aux frontières de la Chine, V, 63 à 66. — Ils obtiennent la permission d’avoir un comptoir dans l’île de Macao ; à quelle occasion, 66. — Causes de leur ruine dans l’Inde, 67 et suiv. — Ils sont défaits dans la rade de Surate, d’où ils voulaient expulser les Anglais, 105 ; — et vaincus ensuite par les troupes impériales de Schah-Jéhan, 148. — À la mort d’Aureng-Zeb ils ne possèdent plus que onze factoreries ; Goa même est menacé d’une destruction