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TABLE.

ses prétentions à l’empire que Mohammed VI et Ibrahim se disputent, IV, 435 ; — se rend maître des deux capitales, 436 ; — marche à la rencontre d’Houmaïoun II, 439 ; — perd la bataille et l’empire, 441. — reparaît à la tète de quatre-vingt mille Afghans, 446. — Sa défaite et sa fuite, 447. — Vaincu une troisième fois, il demande la paix, qu’il n’obtient qu’en renonçant à tous ses droits, 453.

Sefdar-Joung, élevé au poste de vizir, 2 ; — se fait détester des omrahs, 3. — À la tête de quarante mille Mahrattes qu’il admet à sa solde, reprend sur les Rohillas la soubahbie d’Oude, devenue son apanage par la mort de son père, ibid. — Résultat de son expédition, ibid. — Sa disgrâce, sa révolte et sa défaite, 14.

Séïds, leur dynastie fondée par Chizer succède à celle des Chilligis, IV, 289 ; — expire à la retraite d’Alla, dernier prince du sang, 313.

Seïds (les frères) ; Abdallah l’aîné, gouverneur d’Allahabad, et son frère Hossein conspirent en faveur de Fourrouksir, petit-fils de Bahadour, 369. — Ils lèvent des troupes et marchent sur Délhy, ibid. — Succès de leur entreprise, 371. — Ils placent la couronne sur la tète de Fourrouksir, et gouvernent en son nom, 372. — Succès de Hossein, 373. — Puissance des deux frères consolidée, 375. — Leurs prétentions sans bornes couronnées de succès ; leur cruauté envers le malheureux Fourrouksir, 379. — Ils se partagent les dépouilles de l’empire, 380. — Mort d’un fantôme de roi qu’ils ont mis sur le trône, 381. — Le nouveau souverain choisi par eux règne trois mois et meurt, ibid. — Ils lui donnent pour successeur un petit-fils de Bahadour nommé Rouschoun-Akber, sous le nom de Mohammed-Schah, ibid. — Hossein périt assassiné, 384. — Ab-