Page:Marot - Les Œuvres, t. 4, éd. Guiffrey, 1929.djvu/341

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Or pleurez, riez uotre faoul, 5o Tout cela ne luy fert d’un foui :

Vous feriez beaucoup mieulx, en fomme, De prier Dieu pour le poure homme.

Vers 5i. Vous fer e beaucoup mieulx en fomme (b). Mieulx vault en ville, en champs ou vignes, Dire pour luy ces quatre lignes Dieu tout puiffant faulveur d’humains Fai£t que Jehan Serre foit du moins Autant aymé en paradis Comme il fut en terre jadis (c).

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(b) P. Roffet, 1524. — (c) B. N. les deux derniers de cette pièce.

ms. 17527, remplace par ces vers


De l’Abbé de Beaulieu la Marche, qui osa tenir contre le Roy

Qui pour Beaulieu le presumptueux Moyne
Vouldra dresser Tombeau propre, et ydoine,
Dessus convient au vif graver, ou paindre