Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/67

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Clotilde.

Il me tarde de connoître leur pays et leurs aventures.

(Bertram entre d’un air sombre, observant tout ce qui l’entoure.)

Est-ce là le chef ? Ses regards m’effraient ; je n’oserois lui parler.

Hugo.

Allons, allons ; le repas est préparé… par ici…

(Bertram, toujours rêveur, traverse le théâtre.)

Clotilde.

Une douleur profonde semble l’absorber : la vue de cet homme inspire un sentiment qui n’est pas ordinaire. Observons.

(Elle sort.)
Ier. Matelot

Allons, camarades ; nous ferons honneur