Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 1.djvu/131

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les flammes que lançaient ceux de l’étranger.

« Jamais, » reprit celui-ci avec beaucoup de gravité, « jamais je n’abandonne mes amis dans le malheur. Quand ils sont plongés dans le plus profond abîme des calamités humaines, ils sont sûrs de recevoir ma visite. »

Ici le manuscrit offrait plusieurs pages, que le jeune Melmoth ne put déchiffrer. Quand l’écriture fut redevenue un peu plus nette, il retrouva Stanton quelques années après, dans la situation la plus déplorable. On lui avait toujours trouvé une tournure d’esprit un peu bizarre, ce qui, joint à ses discours perpétuels, au sujet de Mel-