Page:Maupassant - Mademoiselle Fifi, Ollendorff, 1902.djvu/167

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
154
réveil

Elle le reçut sans trouble et sans regrets, comprenant soudain qu’elle ne l’avait jamais aimé qu’en un songe dont Péronel l’avait brutalement réveillée.

Mais le jeune homme, qui l’adorait toujours, pensait en s’en retournant : « Les femmes sont vraiment bien bizarres, compliquées et inexplicables ».