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MADAME BAPTISTE.

cias maigres, entre deux rangs de maisons inégales et différentes, des maisons de petite ville, montait une sorte de colline ; et tout au bout on apercevait des arbres comme si un parc l’eût terminée.

De temps en temps un chat traversait la chaussée, enjambant les ruisseaux d’une manière délicate. Un roquet pressé sentait le pied de tous les arbres, cherchant des débris de cuisine. Je n’apercevais aucun homme.

Un morne découragement m’envahit. Que faire ? Que faire ? Je songeais déjà à l’interminable et inévitable séance dans le petit café du chemin de fer, devant un bock imbuvable et l’illisible journal du lieu, quand j’aperçus un convoi funèbre qui tournait une rue latérale pour s’engager dans celle où je me trouvais.

La vue du corbillard fut un soulagement pour moi. C’était au moins dix minutes de gagnées.