chers néophytes dans la ferveur et dans la dévotion, et ces chants, pour lesquels ils ont beaucoup de dispositions et d’inclination naturelles, y contribuent beaucoup. Ne sommes-nous pas trop heureux, monsieur, et ne devons-nous pas rendre des actions de grâces éternelles au grand maître qui nous a mis dans les emplois où nous sommes ? Aydez-moi, s’il vous plait, à l’en remercier. Vostre nom iroquois ne m’est pas inconnu non plus que vostre personne ; c’est une extrême joye pour moy d’apprendre de vos nouvelles et de vous voir dans un sy illuştre corps. Celle que vous nous fîtes l’honneur de nous escrire en 1700 ne nous a point esté rendue, nous ne reçumes en ce temps là que les lettres de M. Bonneville, qui estoient, à ce que j’en juge maintenant, le duplicata des vostres.
« Je serez toujours avec un profond respect,