Page:Maurice Joly - Les Affames - E Dentu Editeur - 1876.djvu/111

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mer. Les coups pleuvaient de toutes parts ; les sergents de ville, n’osant se servir de leurs épées, de peur de se blesser les uns les autres, donnaient et recevaient des horions au hasard.

Mais bientôt les obstacles qui s’opposaient à la sortie des assiégés furent rompus, grâce à l’intervention de Coq, qui était d’une force herculéenne. Il s’élança dans la rue avec ses camarades, et on les vit se disperser au galop dans toutes les directions.