Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu/42

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Celle de la croix où Dieu promet l’or,
La myrrhe et l’encens et tout son trésor
Aux pauvres amants frappant à sa porte.

Prie un peu pourtant pour le péché d’hier,
Et donne ta main si faible et si forte :
Voici venir l’heure où l’on voit moins clair.