Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu/52

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Voici le vent d’automne
Sur mon âme et les fleurs ;
Et pourtant je m’étonne
De tout ce ciel en pleurs.

Ô rose de mon rêve,
Fleuriras-tu jamais ?
Naîtras-tu de sa sève,
Amour, aux futurs Mais ?…