Page:Metivet, Jean-qui-lit et Snobinet, 1909.djvu/131

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Aussi s’est-il mis à travailler assidûment pour rattraper le plus vite possible en savoir Jean-qui-Lit, qui, rien qu’en passant chez le coiffeur, le chemisier, le bottier, le tailleur et le marchand de cravates, lui a fait la farce de l’égaler presque instantanément en correction.

Ainsi nos deux inséparables, Snobinet instruit et Jean-qui-Lit bien peigné, seront parfaits comme nous pensons que le deviendront les jeunes lecteurs de ce livre, si par extraordinaire ils ne l’étaient pas déjà.