Page:Michaud - Biographie universelle ancienne et moderne - 1843 - Tome 29.djvu/54

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10N, la rd|c’d’un Français, Il a’q1lla’mms tellement centre undead camarades quheprénentait on ïagnol, que, ai on nàlea ent •éparlsL’il l’eûtÉ allblement tué. ! Disque la M4. gam : en leg, il’qllltta la ràaiaorrpalqrnelle, n ait’on ïottüdt" if mmm un vaisseau du rcii’A: vë·dinsîâî mers des Anüea, ll le lgnalaâafiles faits’ll’r¤esextraor«lInairea.l-anrort iaononclejwlclrt, le bltiment fut mg dt temps me deux vaisseaux qu’il ôolIIDaliait’, ’i · rendit plus que jamais les Espagnols cdlerrxï ni alla les chercheront lestôterde ltcbdttras r•t ailleurs, et en fit un carnage dirent. Il les corinbattait tantôt sur terre, l la tètedes boùcinlers, · tantdt sur mer connue che ! dellllbustlers ; e malsj. ’ ajoute Charlevoix, on lui rend cette justice, . qu’il n’ag=nais ttté lill È ¤ ne ui a nt reproche, que, = gandages ni ces dissolutions qui ont rendu un 1 si grand nombre d’av•.-nturlers abominables devant Dieu et devant les hommes. » Oexmelin, historien des flibustiers, dépeint lontbars comme un homme vil’, alerte et plein de feu. Il avait la taille haute, droite et ferme, l’alr grand, noble et martial, le teint basane, les sourcils noirs, épais et se joignant. Aussi disait —’on que dans le combat il commençait a vaincre parla temenrde ses regards, et qu’il achevaltpar la force de son bras. Iontbars est le héros d’un mélodrame joué sur un des Pretits théltres de Pa# ris, et d’un roman de I. cquenard. E—sJ


IIONTBEILLARD (PBILIIIIT Gcesuc ne}. Voyez Grxusw. · ’


MONTBÉLIARD (Henriette, comtesse de) était I’aînée des quatre filles de Henri III de blontfrucon, comte de Ientbéliard, tué, en 1396, I la bataille de Nicopoli. Le comte Étienne de lentbélgrd, pèrel : l : fl ! ; r ;·it Ill, vivait encore ; sentanâ sa n arpréc, · un testament par leqoel’ instituât Henri son ltdritier en tous ses stipulant qu’an cas que son Ils Henri ne revint pas de son expédition contre les infidèles, Htlùë rime, l’atnee des filles de’Henri !lI ;’lui succéderait dans le comte de Icvntbellard, dont lui, comte Étienne, Ills de Henri II de llontlauccn et d’Agnès, comtesse de Chtlon, araitbérltddesa mère. Elle-même y avait lucc6d6"¥^sch llilre Ottenln, héritier de Gnlllenlettblle Nedlbhtlol, leur nero, arrittepetite-lllle de Tliierri’lll, sel-’ gnenrds Ienttancan, comte de Iontbëlard’, et d’AddaNe, ocmünedcïerrette. ’ !’bierrillI• !tait, far acwpàre Ilillllll, comte de Iontt•éllanl’, atn6 dealisdu comtslmedée Ier, seignenrde l|ont !ancon, ·q’ui avait suocédédans le comte de Iontbeüard iagnùailelcnsousamère, il’exclasicadaa ccmteadeIaretdeFenette, qsi étdùst des branches masculines de la maison de Housowlentbéliard. Agnès était fille aînée de Thierrj ll comte de llar et de Montbéliard, petite-fille Je’l’l1ierril*, comte dell0¤s0¤, deBca, ·


ION W » de Moutbéliard et de Verdun ; qdtnarriùre-petite-tIIIe, person père, delbuisr comte connu deloumn, deloutbdtlrti deàer. Ricbhd, comte delotptI>eI||rd, fils ’ Ier, comte as-n« ; nwn«a· ; sdifuenr de ont faucon, avait eu, outrettaierrllltg tr’eu¤’e1its’, Geothier, quifen litllffëitlja’de Luslgnnn, |l|le’d’Amhur·§, °rul ’, ’et de Chy|ire.’oe’G•uthier ei ll !¢¤¤ilü’tbèliard “’ °’2»’ ;".î’.’#° ;~’i“«>î.°, ’i·€.2“’°, ....·..."°i ï’ ?’*’ Méli ; gent ’ à ’ ’a’m Qod’beau-trere, là, roi nngues 1f. Cîest de ce Gauthier de ttuutfaocdn-lontbettapl ukueuenri II. 3 :212 dïgnès de Châlons, deleendr ; par son Ben l••, ·aru uùisteine’degte. Le comte Étienne de Ioritbdiardîuàriqi petite-l’ille Henriette i le comtefde Wurtemberg’q n’i’enwre’ne nou ans. Ce unuriajerne fut ui’kpn5°’itl’l1eureux. Le’comte nbernerd. üi Medoc, Muret le riumet me. iaissnnt Els, Louis et Ulrich, dit le Heu-Mme, tree unelile, Aime, quirînoeusa le cornte’Philippe’de Cotzàlènbogiîhgüen gouvema le comté deWuru-mber au nom de ses deux tîls mineurs. Des voisins ambitieux cruœut le moment favorable pour attaquer le Wurtemberg, msi : Henriette avait les connaissance de ses forces et de’ses devoirs. Le comte Ptdéricde Zollern, l’Meien, dit Otinger, s’oub| ’ !usqu’à tenir des injurieux contre Ben : Oto tq••por¢, ’ It’rithem, Chonigeq lllîraehan ; ab anno Nil, cond la Zdlern ; in anperlüsn dax, Éüptà ’¢ niulièrenn, lÈd’1’¢]|Q|¢’ ° yrt’her’p¢ltJ in’gnensfunn lïeiînter nlic verlia :.’’a¤n colon Mju tntlierù jbtdlénrb nu nul : eut polrrü lenno abnrben ? Iuîferî nnneüte untléccosnùù rèrbo, mdgazennlïus : eri¤t :’It’on solar te, acde ! ébateüann ohen et ontario qu àdjua tnann pertinent nm : e ûlta, ’ai Ydiaeas le non nrstiemn buchen Qrritasch ged princymn runs. Enetïef, Henriette nssembls ses troupes, comioqua ses vsseaux et bee hlliés, msrcha vers le comte, le battît el, mis le siège devant le chtteeu d’Hohedbol|u*n, s’en un mdebldeus, fille comtàgho ret enrgya dtnsleu prisons delon à àrd’on iltneurut. ga rosa le eblteeu josquhrz emeutuet reste’e¤¤«»u·«¤·.ececom jusqu’en’B2 !. le co de Zqlletn étant mort, §teI··l’n5deric ;’son frère obtint de faire’la prix avec les comble Wultçlîiberg ; mais les conditions furent §’g’:’esu ;’2te, ’par l’une entre runes, let comtetk lr} âllnîru, en se rési n su seu ra s e a guerre, se re·: nnu, Enum et serveurs à PGEÈÉIÉÉÉÉICIIIÈII de Wurtemberg. Ils stipu rentque, sl illlltl leur ma, on venait 1 s’éteindre ùute de miles, tous leurs biens passeraient} celle de Wurtemberg. Henriette, lors de la majorité de ses fils, leur remit les renes du comté de Wurtenberg, conservant seule celles