Page:Michaud - Poujoulat - Correspondance d’Orient, 1830-1831, tome 2.djvu/164

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venirs récens, parce qu’ils donnent à la ville de Stamboul une physionomie nouvelle ; jusqu’ici, pour connaître l’empire ottoman et sa capitale, on s’est contenté de porter ses regards vers le sérail ; il faudra désormais se placer aussi dans le point de vue de Péra, et regarder de ce côté, non-seulement pour connaître la grande cité des Osmanlis, mais pour voir venir les révolutions qui peuvent changer la face de l’Orient.